
Vous travaillez dur. Vous donnez tout. Et pourtant, vous avez cette impression persistante de plafonner. Comme si quelque chose bloquait, sans que vous sachiez exactement quoi.
Chez beaucoup de dirigeants de TPE/PME, ce « quelque chose » est souvent invisible : ce sont des croyances bien ancrées sur ce que doit être la gestion d’une entreprise.
Voici les plus courantes… et comment les déverrouiller.
1. « Un bon dirigeant doit tout savoir et tout valider »
Cette croyance conduit à l’hypercontrôle, à la surcharge mentale, et empêche l’autonomie des équipes.
Ce qu’elle coûte : un goulot d’étranglement permanent, des délais de décision, un dirigeant épuisé.
Alternative utile : « Mon rôle est de créer un cadre clair et de faire grandir les compétences autour de moi. »
2. « Gérer, c’est faire le dos rond et réagir vite »
Une entreprise ne peut pas croître durablement en mode réactif. Sans vision, sans cap, sans indicateurs clairs, on finit par s’épuiser dans l’urgence.
Ce qu’elle coûte : un sentiment de stagnation, des priorités qui changent sans cesse, un manque de lisibilité pour l’équipe.
Alternative utile : « Je pilote avec des données, un cap clair et des revues régulières. »
Chez beaucoup de dirigeants de TPE/PME, ce « quelque chose » est souvent invisible : ce sont des croyances bien ancrées sur ce que doit être la gestion d’une entreprise.
Voici les plus courantes… et comment les déverrouiller.
1. « Un bon dirigeant doit tout savoir et tout valider »
Cette croyance conduit à l’hypercontrôle, à la surcharge mentale, et empêche l’autonomie des équipes.
Ce qu’elle coûte : un goulot d’étranglement permanent, des délais de décision, un dirigeant épuisé.
Alternative utile : « Mon rôle est de créer un cadre clair et de faire grandir les compétences autour de moi. »
2. « Gérer, c’est faire le dos rond et réagir vite »
Une entreprise ne peut pas croître durablement en mode réactif. Sans vision, sans cap, sans indicateurs clairs, on finit par s’épuiser dans l’urgence.
Ce qu’elle coûte : un sentiment de stagnation, des priorités qui changent sans cesse, un manque de lisibilité pour l’équipe.
Alternative utile : « Je pilote avec des données, un cap clair et des revues régulières. »

3. « Les chiffres, ce n’est pas mon truc. Je gère au feeling. »
Certes, l’intuition est précieuse. Mais sans indicateurs de pilotage simples (marge, tréso, productivité…), les décisions deviennent floues et risquées.
Ce qu’elle coûte : des surprises de tréso, des marges non contrôlées, une difficulté à arbitrer.
Alternative utile : « Je n’ai pas besoin d’être expert comptable, mais je dois piloter avec les bons indicateurs. »

4. « Il faut bosser dur pour réussir »
Le travail acharné est valorisé, mais il ne garantit pas l’efficacité. Ce qui compte, c’est la pertinence des actions, pas leur volume.
Ce qu’elle coûte : une difficulté à prioriser, une tendance à tout faire soi-même, une organisation inefficace.
Alternative utile : « Je me concentre sur les actions qui ont le plus d’impact, et je délègue le reste. »
Déconstruire, c’est débloquer
Changer une croyance ne se fait pas en un claquement de doigts. Mais prendre conscience de ces freins invisibles est un premier pas puissant. C’est ce qui permet, peu à peu, de reprendre les commandes. Non pas en solo, mais en stratège.
Chez Mon Cabinet Gestion, nous accompagnons les dirigeants de TPE/PME à clarifier leur pilotage, reprendre du recul, et faire de leur entreprise un système qui tourne (même sans eux).
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